Qu'est-ce qu'une extrémité d'air et à qui est-elle destinée ?
Les embouts pneumatiques à vis à injection d'huile portent différents noms. Comme le dit le proverbe, un enfant cher a beaucoup de noms. Les noms les plus couramment utilisés sont embout pneumatique, embout pneumatique à vis, bloc à vis, bloc, embout pneumatique lubrifié à l'huile et vis rotative. Ce n'est pas pour rien que l'on appelle Air End "le cœur de tout". Là où il y a des opérations industrielles, il y a généralement des besoins en air comprimé. Les fabricants de compresseurs et de systèmes d'air comprimé ont besoin d'embouts pneumatiques. Il existe plusieurs types de technologies pour produire de l'air sous pression, par exemple les compresseurs alternatifs (= à piston), à membrane, à palettes, à vis en Z, à anneau liquide et les turbocompresseurs.
L'extrémité air est la partie où a lieu la compression proprement dite. À l'intérieur de l'embout pneumatique se trouvent des rotors mâle et femelle qui tournent dans des directions opposées. Ils compriment physiquement l'air par une force extérieure. L'avantage de la vis sans fin à injection d'huile est sa construction très simple, où l'air est comprimé entre deux rotors engrenants et contre le châssis avec un mince film d'huile entre les deux. L'huile sert de liquide de refroidissement, de produit d'étanchéité et de lubrifiant.
Les embouts à vis sont conçus pour produire un flux d'air continu et régulier. Selon ce critère de conception ultime, les embouts à vis sont parfaits pour les applications où un débit d'air constant est indispensable, par exemple dans les installations et les opérations industrielles. En plus de fonctionner en continu, les embouts pneumatiques à vis sont fiables et durables, même dans des conditions difficiles. Par exemple, les entreprises minières et de construction, ainsi que les fabricants d'équipements de lutte contre les incendies, choisissent les embouts pneumatiques à vis en raison de leur fiabilité et de leur durabilité. Avec une vis à injection d'huile, on peut comprimer économiquement quelques 15 bar(g) max. et en deux étages 45 bar(g) max. Si des pressions plus élevées sont nécessaires, il faut des récips (pistons) à plusieurs étages. Pour l'air respirable destiné aux plongeurs et aux réservoirs des pompiers, il n'est possible de comprimer 200 à 350 bar(g) qu'en utilisant des compresseurs à piston à plusieurs étages, par exemple.